Les peintures rupestres

Le dernier grand cataclysme est au centre de la civilisation de l’Égypte antique tout comme celles des autres continents puisqu’il fut universel et qu’il modifia la vie sur Terre en commençant par détruire entièrement des régions et leurs populations.

Nous avons présentée l’explication connue des refuges pour les survivants sur les montagnes de plus de 4 000 mètres d’altitude puis lorsque ce fut à nouveau possible, sur les hauts plateaux à plus de 2 000 mètres et quelques millénaires plus tard dans les villes souterraines à plus basse altitude.

Le cycle répétitif de ce grand cataclysme était connu dans l’Antiquité et le temple de Dendérah sur les bords du Nil enseignait les Lois divines et les mathématiques célestes justement pour préparer l’humanité à une nouvelle Apocalypse et pour prévoir la période de cette destruction de la biodiversité.

Aujourd’hui ces connaissances sont écartées, interdites dans la culture occidentale avec ses dogmes théocratiques tout comme ses dogmes capitalistes et néo libéraux.

L’utilisation des grottes et des villes souterraines a permis à nos Ancêtres Supérieurs de laisser des traces de leur niveau de civilisation, de leurs arts. Nous disposons des archives de leurs connaissances pour aider la nouvelle humanité qui va se développer après ce grand cataclysme. Quelques unes de ces archives ont été retrouvées au XXème siècle. Elles démontrent que nous n’avons toujours pas atteint le niveau des connaissances transmises ni égalé la virtuosité des arts de nos Ancêtres Supérieurs.

Évidemment ces découvertes des grottes, des villes souterraines et des Archives de la civilisation détruite lors du dernier grand cataclysme, remettent en cause les dogmes religieux et les théories développées pour expliquer le monde et la Vie sur Terre. Spécialement les légendes développées par les “préhistoriens” et les spécialistes de l’évolution humaine qui proclament que nos ancêtres étaient forcément des êtres incultes, rustres avec peu d’intelligence par rapport à nous… et qu’avant eux, il n’y avait pas d’autres civilisation humaines bien plus avancées que la nôtre.

Alors que notre planète Terre avance vers un nouveau grand cataclysme, les signes annonciateurs sont plus fréquents à travers l’activité sismique, les volcans, la dérive accélérée des pôles magnétiques, son inclinaison vis à vis du soleil, sa position dans sa rotation elliptique autour du soleil, les cycles de fortes activités solaires, le dérèglement du climat, la survenance de météorites et d’astéroïdes sur des orbites proches de la nôtre. Selon les mathématiques célestes enseignées à Dendérah, il reste à nos savants avec leurs satellites altimètres radars à mesurer la vitesse d’aplatissement des pôles de la Terre, dernier signe qui annonce l’imminence d’un nouveau grand cataclysme.

Notre humanité a donc besoin de retrouver rapidement l’expérience, les connaissances de nos Ancêtres Supérieurs pour disposer de solutions face à ce nouvel Apocalypse.

C’est l’objet de cet article sur les dessins et peintures rupestres.

Il accompagne en quelque sorte nos présentations des peuples premiers ou peuples racines, les Moso et les indigènes des îles Trobriands,qui tous deux, justement, appartiennent à des régions et des peuples où des civilisations antérieures au dernier grand cataclysme, il y a 12000 ans, qui ont survécu dans des refuges naturels comme l’Himalaya, les Andes et le plateau mexicain, le Caucase et le plateau de l’Iran, le haut-Atlas marocain et le plateau d’Abyssinie, ou comme des îles du Pacifique dont les hauteurs leur ont permis de n’être pas englouties par la montée des eaux lors de la fonte des glaces.

Pour les autres régions, comme la France, ce sont les grottes qui ont échappé à la destruction sismique ou à la montée des eaux, comme en partie la grotte Cosquer des calanques de Marseille, qui nous apportent les témoignages de nos Ancêtres Supérieurs d’avant le dernier grand cataclysme ou ceux des habitants venus développer nos régions bien après ce grand cataclysme. Nouveaux habitants qui avaient conservé l’art de graver les pierres ou de peindre les grottes.

Leurs œuvres élèvent notre niveau de connaissances et nous les transmettons nous aussi aux générations futures.

Les peintures rupestres des Andes

source : TIAHUANACO, 10 000 ans d’énigmes incas, de Simone Waisbard, Robert Laffont, les énigmes de l’univers

A propos des dessins, peintures et fresques rupestres ainsi que des grottes qui servirent de lieu de cérémonies sacrées, voici un extrait du livre :

ch 15 Les centaures rupestres du haut Pérou 

Près du village de Chichillapi, typique bourgade aymara située à 4300 mètres d’altitude, se trouve l’antique sanctuaire de Kelkatani, vocable aymara qui signifie littéralement ” la pierre écrite ” 
L’extraordinaire message pariétal de Kelkatani, légèrement entaillé au burin, est peint soit en ” positif ” soit en ” négatif ” sur un large écran granitique qui couvre vont-six mètres sur six mètres de haut et quatre d’épaisseur…

scène rituelle de danse cynégétique triomphale du sanctuaire rupestre de Mazo-Cruz, Pérou ( Ph.Caretas-Lima )

scène rituelle de danse cynégétique triomphale du sanctuaire rupestre de Mazo-Cruz, Pérou ( Ph.Caretas-Lima )

Les plus nerveuses et fringantes des fresques pariétales décrivent le chako, grande chasse collective qui réunissait des centaines ou des milliers d’aborigènes et qui fut, beaucoup plus tard, reprise et célébrée en grande pompe par l’Inca régnant… 

Deux ou trois Chokkelas armés de gourdin, bras levés, piétinent au premier plan de la fresque, un guanaco tombé à terre. Leur danse est frénétique ! Comme s’ils voulaient finir de mettre en pièces la dépouille de l’animal et la détruire complètement. Déjà, il n’en reste plus que l’arrière-train…

Néanmoins, représenter aussi crûment le chasseur qui frappe la bête, lui cloue un dard dans la chair, reproduire la panique et la débandade du troupeau n’est pas seulement un croquis d’amateur préhistorique ! Il s’agit d’un véritable acte de mimétisme magique, que le chasseur imagina dans l’espoir de s’assurer, lors d’un prochain chako, la prise de viande nécessaire à la subsistance même du clan qui dépendait de son adresse pour survivre ou, à défaut, mourir ! 
Les peintures rupestres de Mazo-Cruz suggèrent encore que l’auteur ou les auteurs de ces œuvres magistrales ne furent pas seulement des artistes mais aussi des mages. Car les chasses s’accordent étroitement avec l’ambiance tellurique comme s’il s’agissait de ” planter le décor ” des rites propiatoires auxquels les hommes vont participer au fond de la grotte sacrée… 

La pierre écrite de Kelkatani constitue, par ailleurs, un modèle unique au monde, d’après Spahni ( expert suisse en peintures rupestres ). Pour la première et la seule fois, un procédé original fut utilisé pour silhouetter ” en négatif ” – technique non encore décelée sur les fresques rupestres européennes – les animaux groupés, les bergers qui les gardent ou les chasseurs qui les traquent. Laissé tel quel, sans aucun remplissage, l’intérieur du dessin garde la couleur naturelle de la roche qu’il décore. Traités de cette manière ingénieuse, d’immenses troupeaux d’auchénies surgissent en relief, comme des fantômes, simplement profilés sur la paroi de la caverne… 

Et soudain, incroyable, fantastique, absolument imprévue, je butais sur une dernière énigme ! Là, au fond de la grotte de Mazo-Cruz, m’attendait un étrange ” centaure “…

Lorsque le savant Darwin signala pour la première fois en 1831, en Amérique du Sud, à Punta Alta et à la Bajada en Argentine, la présence des squelettes d’equus curvidens, ce fut une même stupeur dans le monde scientifique…..

Ainsi ” le centaure ” en ” ombre chinoise ” du sanctuaire rupestre de Mazo-Cruz semble-t-il bien un homme à cheval…  
(Des squelettes fossiles de ce cheval ont été datés au carbone 14 à 10 000 ans avant notre ère. )

" le centaure " en " ombre chinoise " du sanctuaire rupestre de Mazo-Cruz

” le centaure ” en ” ombre chinoise ” du sanctuaire rupestre de Mazo-Cruz

Un intrigant ” centaure ” semble diriger un duel entre deux guerriers millénaires, en bordure d’un rio sinueux ( Ph.Caretas-Lima ) 

cavaliers des premiers âges sud-américains, à Kelkatani, Pérou ( Ph.Caretas-Lima )
cavaliers des premiers âges sud-américains, à Kelkatani, Pérou ( Ph.Caretas-Lima )

Qui furent ces Homo Andinus ? La réponse me fut donnée par les indiens Aymaras de Chichillapi : la ” pierre écrite de Kelkatani ” et les autres peintures de la grotte sacrée, sont l’oeuvre des Urus et des Chullpas qui se vantaient d’être ” les Fondateurs du Monde “. 

Bien sûr, l’énigme du peuplement initial de l’Amérique du Sud, après celle du Nord, reste toujours posée en majeure partie. Mais avec ces premières enluminures d’un très ancien errant sur le toit des Andes, le dossier de la préhistoire sud-américaine vient de s’enrichir considérablement ! Ces fresques rupestres que je viens de dévoiler, reculent loin dans l’obscur tunnel des temps précolombiens, les datations connues. Elles semblent apporter la certitude que la présence de l’homme en altitude est due à une migration par la voie des Andes et non pas par des débarquements sur la côte du Pacifique comme le soutiennent quelques américanistes. Et c’est là, estime l’historien Luis E. Valcarcel, ” une découverte capitale ” 

Ainsi de l’homme lui-même, du peintre ingénu qui ” fonda le monde ” kolla plusieurs millénaires avant l’apparition de l’Adam et de l’Eve incas sur les rives du lac le plus haut du globe – et de longs siècles aussi avant l’apogée du colossal Tiahuanaco où erre encore le fantôme de Viracocha – qu’ai-je appris au juste depuis les cimes englacées des volcans jusque sur le seuil de la merveilleuse Porte du Soleil, et jusqu’au fond des cavernes sacrées ?
Beaucoup et trop peu encore !

Que cet homme mystérieux fut un adroit et rapide chasseur d’auchénies, qu’il fut aussi un bon cavalier avant de devenir le titanesque Chullpa auteur de murailles cyclopéennes capables de défier le déluge. Ou l’Uru, ce fossile vivant, paria des Andes repoussé au coeur du lac de la genèse pour y mourir d’abandon… Et qu’il sut, d’une autre manière que la mienne – mais la sienne autrement ingénieuse ! – illustrer pour l’éternité, la vie quotidienne de civilisations à jamais disparues et rédiger sur des pages minérales, le grand livre jamais édité, de ses fabuleux mémoires ! 

Les premiers artistes de l’Humanité étaient des femmes. 

http://www.tdg.ch/savoirs/Les-premiers-artistes-de-l-Humanite-etaient-des-femmes/story/31398484 

Une étude vient de démontrer que, contrairement aux idées reçues, trois quarts des peintures rupestres des sites préhistoriques avaient été réalisées par des femmes. 

Les manuels d’histoire étaient jusqu’ici formels: les magnifiques fresques rupestres que l’on trouve notamment dans les grottes de Lascaux, en France, ont été peintes par des hommes. Probablement des chasseurs qui racontaient et valorisaient ainsi leurs parties de chasse. Hic: une étude vient de paraître et contredit ce qui était jusqu’ici acquis. Elle démontre en effet que les femmes étaient sans doute les premières artistes de l’Humanité. 

L’archéologue Dean Snow, de l’Université de Pennsylvanie, est arrivé à la conclusion, dans le journal American Antiquity, que 75% des peintures de bisons, mammouths, chevaux et autres cerfs capturés par des hommes, avaient été réalisées par la gent féminine préhistorique, rapporte le National Geographic.

Des pochoirs vieux de 40 000 ans découverts en Indonésie 

LE MONDE | 08.10.2014 à 19h04 • Mis à jour le 09.10.2014 à 07h53 | Par Emmanuelle Jardonnet

http://www.lemonde.fr/arts/article/2014/10/08/l-homme-a-invente-l-art-en-europe-et-en-asie-a-la-meme-epoque_4502839_1655012.html 

La revue Nature a révélé, mercredi 8 octobre, la découverte majeure que vient de faire une équipe d’archéologues dans des grottes de l’île de Célèbes (ou Sulawesi), en Indonésie. Des chercheurs australiens et indonésiens menés par Maxime Aubert et Adam Brumm ont en effet pu dater une série de douze pochoirs et de deux dessins vieux de près de 40 000 ans, ce qui en fait les contemporains des plus anciennes œuvres rupestres connues du monde, et situées en Europe. « Nous pouvons désormais démontrer que les hommes produisaient de l’art rupestre il y a environ 40 000 ans aux deux extrémités du monde eurasien du Pléistocène », affirme ainsi l’étude. 

L’information bouscule notre représentation de la vie des premiers hommes modernes. « Les archéologues étaient depuis longtemps intrigués par l’apparition en Europe, il y a 35 000-40 000 ans d’un riche corpus d’œuvres sophistiquées et de la quasi-absence d’équivalent ailleurs, en particulier le long des routes de migration humaine vers l’ Asie du Sud et de l’ Est [dans la zone située entre l’ Asie et l’ Australie], où les Homo sapiens se sont installés il y a près de 50 000 ans » expliquent les scientifiques.

L’ensemble analysé avait été découvert dans les années 1950, dans cette zone où quelque 90 sites d’art pariétal sont répertoriés. Mais il paraissait jusqu’ici peu probable que les parois de roche calcaire leur ayant servi de support, dans cet environnement tropical, puissent avoir conservé des peintures aussi anciennes. 

DEGRÉ DE DÉSINTÉGRATION RADIOACTIVE DE L’URANIUM 

Pour leurs analyses, les scientifiques se sont fondés sur les spéléothèmes recouvrant les œuvres : l’eau riche en minéraux qui ruisselle le long des parois, dans les grottes, forme ces fines couches de calcite ressemblant à du pop-corn, et contenant des traces d’uranium. C’est le degré de désintégration radioactive de l’uranium qui informe sur le temps écoulé depuis sa formation, et permet de donner un âge minimal à l’œuvre que le calcite recouvre. L’équipe de chercheurs a pratiqué cette méthode de datation à partir de minuscules prélèvements, dont certains ont été faits jusqu’à la surface des pigments, d’autres sous cette surface, afin de fournir une échelle minimale et maximale. 

Une trace de main réalisée en projetant des pigments humides autour d’une main appuyée contre une surface rocheuse s’est ainsi révélée vieille d’au moins 39 900 ans, ce qui en fait la plus ancienne connue à ce jour. Par ailleurs, les dessins de deux mammifères, dont un babiroussa (espèce de cochon avec des défenses), ont été réalisés  il y a au moins 35 400-35 700 ans

NOUVELLES QUESTIONS SOULEVÉES 

A quelque 13 000 km de là, en Europe, des techniques de datation comparables réalisées sur du calcite ont établi qu’un disque rouge d’El Castillo, dans le nord de l’ Espagne, remontant à 40 800 ans, était le dessin le plus ancien connu. Sur le même site, l’empreinte d’une main réalisée en pochoir remonterait au minimum à 37 300 ans. Par ailleurs, le premier dessin figuratif connu est un rhinocéros de la Grotte Chauvet, en Ardèche, qui selon une datation au radiocarbone, serait vieux de 35 300 à 38 800 ans.

Cette contemporanéïté des pratiques soulève de nouvelles questions. L’art rupestre a-t-il été importé par l’homme moderne dans la région depuis l’ Europe ? Ou bien de telles pratiques se sont-elles développées de façon indépendante ? Ce qui est certain, c’est qu’aucun art figuratif n’est antérieur à l’arrivée de l’ Homo sapiens, originaire d’ Afrique, en Asie et en Europe. 

La généralisation de la technique utilisée par Aubert et ses collègues, qui ne nécessite que d’infimes prélèvements de calcite, pourrait permettre de dater l’art rupestre du monde entier » sur des bases communes, réagit l’archéologue néerlandais Wil Roebroeks dans Nature, « et ainsi montrer où cet art est apparu pour la première fois et comment il s’est développé dans le temps et l’espace ». L’étude démontre aussi l’importance historique et culturelle de la zone Maros (sud de Célèbes), qui est menacée aussi bien par une accélération de sa dégradation que par des projets miniers. 

Ces peintures découvertes en Inde représentent-elles des extraterrestres ?

Publié par Baptiste Rouch, le 18 juillet 2014 

Peintures rupestres découvertes en Indonésie.

peinture d’un sanglier des Célèbes

Une équipe internationale d’archéologues a découvert la plus ancienne peinture rupestre connue dans le monde : une image à taille réelle d’un sanglier, réalisée il y a au moins 45 500 ans en Indonésie, sur l’île de Sulawesi. La découverte, qui remonte à 2017, est décrite dans l’édition de mercredi de la revue Science Advances , et fournit également la preuve la plus ancienne d’une présence humaine dans la région. Mesurant 54 cm de haut pour 1m36 de large, cette peinture d’un sanglier des Célèbes a été réalisée grâce à un pigment d’ocre rouge foncé. Le sanglier est représenté avec une courte crinière de poils dressés, ainsi qu’une paire d’excroissances faciales ressemblant à des défenses, typiques des adultes mâles de l’espèce.

https://c.dna.fr/insolite/2021/01/14/un-sanglier-represente-dans-la-plus-ancienne-peinture-rupestre-du-monde

Peintures rupestres découvertes en Inde.

http://www.maxisciences.com/peinture-rupestre/ces-peintures-decouvertes-en-inde-representent-elles-des-extraterrestres_art33069.html 

Copyright © Gentside Découverte

Partout dans le monde, des centaines de peintures, gravures, artefacts représentant des êtres non humains et des OVNI ont été retrouvés. Ces représentations remontent souvent à la Préhistoire et l’Antiquité mais leur découverte suscite toujours un sentiment assez intrigant. C’est ce qu’il vient de se produire en Inde, dans la région de Chhattisgarh, où des spécialistes viennent de mettre la main sur d’étranges peintures. Jusqu’ici inconnues, les dessins représentent des êtres à l’aspect peu conventionnel.

Pour enquêter sur la question, le département d’archéologie et de culture de l’Etat de Chhattisgarh a déjà prévu de demander de l’aide à la NASA et l’ISRO (Organisation indienne pour la recherche spatiale) afin d’étudier les peintures qui seraient vieilles de plus de 10.000 ans. Les grottes sont situées près des villages de Chandeli et Gotitola à environ 130 km de Raipur.

Des extraterrestres ? “Les résultats suggèrent que les humains dans les temps préhistoriques ont peut-être vu ou imaginé des êtres venus d’autres planètes, ce qui qui crée toujours de la curiosité parmi le public et les chercheurs. Des recherches approfondies sont nécessaires pour obtenir plus de résultats. Chhattisgarh n’a actuellement pas d’expert compétent qui pourrait donner des éclaircissements sur le sujet”, a déclaré J.R Bhagat, un archéologue indien repris par le Times of India 

Selon le spécialiste, les peintures sont faites dans des couleurs naturelles qui “ont à peine disparu malgré les années. Les étranges figures dessinées tiennent des objets comme des armes et n’ont pas de caractéristiques précises. Particulièrement, le nez et la bouche sont manquants”, a t-il poursuivi. L’aspect présenté par les personnages est relativement variable, certains semblent même porter “des combinaisons spatiales”. “Nous ne pouvons pas réfuter la possibilité que cela vienne de l’imagination des hommes préhistoriques, mais les êtres humains en général s’imaginent de telles choses”, a t-il encore ajouté.

Si les personnages sont déjà étranges, certains dessins représentant une espèce de vaisseau le sont encore plus.

“L’antenne en forme de ventilateur et les trois jambes du véhicule montrent clairement une similitude avec un vaisseau extraterrestre”, a affirmé Bhagat. Des peintures à authentifier Toutes les informations sont évidemment à prendre avec de grandes précautions. Pour l’heure, aucun autre expert ne semble avoir examiné ou authentifié les peintures. Il reste également à confirmer qu’elles datent bien d’il y a plusieurs milliers d’années, au vu de leur état de conservation remarquable. De son coté, J.R Bhagat a tenu à souligner que ce n’était qu’une “coïncidence” si les représentations préhistoriques semblaient présenter des similarités avec les images d’OVNI que l’on retrouve actuellement dans les films.

Néanmoins, certains ont d’ores et déjà fait le rapprochement avec des croyances populaires circulant parmi les villages de la région. Ils ont ainsi raconté des histoires entendues de la bouche de leurs ancêtres et évoquant un certain “peuple de rohela”. “Des êtres de petite taille venus sur Terre par le ciel dans un objet volant de forme ronde pour enlever une ou deux villageois qui ne sont jamais revenus”, rapporte le Times of India. D’autres spécialistes seraient attendus sur le site pour procéder à de nouvelles recherches. 

Un mur de huit kilomètres de peintures préhistoriques d’animaux et d’humains est découvert dans la forêt amazonienne.

by Delmar Laforge novembre 29, 2020  

La chapelle Sixtine des anciens ‘: un mur de huit kilomètres de peintures préhistoriques d’animaux et d’humains est découvert au cœur de la forêt amazonienne 

Un mur de huit kilomètres d’art rupestre préhistorique en Colombie présente des animaux et des humains

Découvert dans la forêt amazonienne après sa création jusqu’à 12500 ans Trouvé sur les falaises l’année dernière dans le parc national de Chiribiquete par des archéologues Par Emily Webber pour Mailonline Publié: 12 h 41 HE, le 29 novembre 2020 

Un mur de huit kilomètres d’art rupestre préhistorique mettant en vedette des animaux et des humains a été découvert dans la forêt amazonienne après sa création il y a jusqu’à 12500 ans. L’œuvre d’art historique, qui s’appelle désormais la « chapelle Sixtine des anciens », a été découverte sur les parois des falaises l’année dernière dans le parc national de Chiribiquete, en Colombie, par une équipe d’archéologues britannique-colombienne financée par le Conseil européen de la recherche. 

Parmi les peintures, qui ont été créées jusqu’à il y a 12500 ans, sont ceux qui représentent le mastodonte maintenant éteint qui habitait autrefois l’Amérique du Nord et centrale et le paléolama – un membre éteint de la famille des chameaux. 

 un mur de huit kilomètres de peintures préhistoriques d’animaux et d’humains est découvert au cœur de la forêt amazonienne

L’équipe a découvert l’œuvre d’art historique, qui s’appelle maintenant la « Chapelle Sixtine des anciens », sur les parois de la falaise l’année dernière dans le parc national de Chiribiquete, en Colombie. 

la « Chapelle Sixtine des anciens », sur les parois de la falaise dans le parc national de Chiribiquete, en Colombie.

On pense que ces images, qui donnent un aperçu d’une civilisation désormais perdue et ancienne, ont été créées par certains des premiers humains à atteindre l’Amazonie. La découverte fascinante figurera désormais dans un Série Channel 4 Jungle Mystery: Lost Kingdoms of the Amazon, qui aura lieu en décembre.

Ella Al-Shamahi, archéologue et exploratrice, a partagé son enthousiasme de voir les images ressuscitées Pendant ce temps, le chef de l’équipe José Iriarte, professeur d’archéologie à l’Université d’Exeter dit: «Quand vous êtes là, vos émotions coulent… Nous parlons de plusieurs dizaines de milliers de tableaux. «Il faudra des générations pour les enregistrer… Chaque tour que vous faites, c’est un nouveau mur de peintures. Nous avons commencé à voir des animaux qui sont maintenant éteints. Le site, situé dans la Serranía de la Lindosa, est accessible en deux heures de route depuis San José del Guaviare et est si éloigné qu’il est occupé par certains des animaux les plus dangereux de la région.  

sources : 

https://news-24.fr/un-mur-de-huit-kilometres-de-peintures-prehistoriques-danimaux-et-dhumains-est-decouvert-dans-la-foret-amazonienne/?fbclid=IwAR33Oyz41sEVtNKRn73RhJRSNX3MJRK2ga4bi1yrCCzEOuzn9Seh24hs73Y

Parc national de Chiribiquete – « La Maloca du jaguar »

La vallée des Merveilles

dans le Mercantour, Alpes-Maritimes

Le lac de Saorgine, vallée des Merveilles
le lac de Saorgine, la photo et les suivantes sont du webmaster

Le lac de Saorgine, premier lac à la sortie du vallon des Minières et premier bain pour se rafraîchir de la montée depuis le lac des Mesches.

le refuge des Merveilles (CAF) au bord du lac Long supérieur
le refuge des Merveilles (CAF) au bord du lac Long supérieur
le Mont du Grand Capelet (2935m) au fond de la vallée
le Mont du Grand Capelet (2935m) au fond de la vallée
en montant vers la baisse de Valmasque et la zone des gravures préhistoriques, vue sur les lacs Long supérieur et de la Fourca

en montant vers la baisse de Valmasque et la zone des gravures préhistoriques, vue sur les lacs Long supérieur et de la Fourca

vallée des Merveilles, deux exemples de gravures rupestres 

vallée des Merveilles, deux exemples de gravures rupestres 

vallée des Merveilles, deux exemples de gravures rupestres 

Les Bibliothèques Archives des Ancêtres supérieurs

document :

Il y a 12 000 ans, les Initiés surent que l’intelligentsia terrestre allait disparaître totalement dans un grand cataclysme.

Dans le milieu de l’ésotérisme, on assure que ces Initiés prirent la précaution de consigner l’essentiel de leurs connaissances afin que le secret n’en fut pas perdu avec eux.

Jamais ces archives des Ancêtres Supérieurs ne furent retrouvées… Jamais jusqu’à la découverte de la Bibliothèque primhistorique du docteur Cabrera.

Dans cette conjecture, les pierres d’Ica nous transmettraient les principales grandes connaissances utiles que les Atlantes ont bien voulu nous faire connaître.

…/… Les pierres furent donc entreposées dans des endroits secs, d’altitude moyenne où selon toute probabilité elles seraient découvertes un jour. Le dépôt d’Ica ne serait pas le seul qui existerait sur le globe et les traditions, à ce sujet, évoquent des lieux consacrés : le Tibet, l’Égypte, l’Inde.

Un deuxième dépôt a été mis au jour à Acambaro, au Mexique.

…/… Or il faut bien se ranger à cette idée : à en juger par les gravures de ces objets, nos ancêtres des temps préhistoriques avaient la main beaucoup plus sûre que la nôtre, un sens et une intelligence du trait qui obligeraient un graphologue à conclure à une intelligence très poussée.

Les personnages gravés de la grotte de la Marche (Lussac), le “cheval merveilleux” de Lascaux pour ne prendre que ces exemples, ont une facture qui prouve une virtuosité égale à celle des graveurs d’Ica.”

source : L’énigme des Andes, Robert Charroux, chez Robert Laffont, 1974, pages 122 et 127.

Les pierres d’Ica

Parmi les critiques sur l’authenticité des pierres d’Ica, il faut distinguer celles qui sont le résultat d’une copie d’un faussaire qui avait compris tous les bénéfices de la vente de ces pierres gravées.

Par contre ces critiques sur les pierres anciennes authentiques sont souvent fausses :

Par exemple, ” certaines pierres montrent également des chevaux tirants des chariots, alors que le cheval était absent sur le continent américain avant l’arrivée des Conquistadores “.

Plus haut, nous avons montré les peintures de Mazo Cruz et de Kelkatani représentant des chevaux.

Lorsque le savant Darwin signala pour la première fois en 1831, en Amérique du Sud, à Punta Alta et à la Bajada en Argentine, la présence des squelettes d’equus curvidens, ce fut une même stupeur dans le monde scientifique…..

Ainsi ” le centaure ” en ” ombre chinoise ” du sanctuaire rupestre de Mazo-Cruz semble-t-il bien un homme à cheval…  
(Des squelettes fossiles de ce cheval ont été datés au carbone 14 à 10 000 ans avant notre ère. )

Glozel

document :

” Glozel est un hameau de la commune de Ferrières-sur-Sichon, situé dans le sud-est du département de l’Allier, au Nord du Massif Central, à une trentaine de kilomètres de Vichyn 1, dans la montagne bourbonnaise.

En 1924 y fut découvert un ensemble d’objets, datés dans un premier temps de la préhistoire mais dont l’authenticité fut rapidement contestée.

Selon certains défenseurs contemporains de l’authenticité de l’ensemble des vestiges mis au jour à Glozel, les découvertes ne seraient pas reconnues car leurs implications remettraient en question la présumée « science officielle ». L’archéologue Jean-Paul Demoule note que « Glozel constitue l’archétype idéal de l’histoire où un amateur fait une découverte spectaculaire, mais se heurte à l’opposition de la « science officielle », laquelle cherche à le faire taire pour préserver coûte que coûte ses certitudes. Histoire un peu limitée, au regard de ce que vivent en permanence les archéologues. »

Si Glozel a longtemps séduit et séduit encore certains, sans doute est-ce parce que le site leur apporterait une « preuve » de l’existence d’une civilisation européenne ancienne ayant inventé l’écriture, bien avant que ce moyen de communication n’apparaisse au Moyen-Orient. D’après Jean-Paul Demoule, « c’est la place de Glozel dans l’histoire et la sociologie de la recherche archéologique qui peut paraître l’aspect le plus intéressant de cette affaire ».

source : Wikipedia

La question controversée des dates pour les archéologues et les historiens

Cette affaire et controverse est classique : lorsqu’un site très ancien a été constamment occupé au cours des millénaires, les objets les plus anciens deviennent suspects.

Il en a été de même pour les temples d’Égypte et spécialement pour le plus ancien, le temple de Dendérah .

document :

Le temple de Dendérah a été construit à partir du 24 mai 4608 av-JC lorsque les deux groupes de survivants de l’Atlantide ont été à nouveau réunis :

  • le groupe mené par Osiris et Isis, débarqué sur les rivages d’Agadir au Maroc qui monta de suite se réfugier dans le Haut-Atlas vers 4000 mètres d’altitude puis qui partit en éclaireur vers les bords du Nil en traversant le Sahara qui n’était pas encore un désert. Ces éclaireurs préparent le terrain pour accueillir le reste du groupe des survivants. Sur les bords du Nil ils vécurent d’abord dans des cités souterraines qui probablement existaient déjà avant le dernier grand cataclysme comme d’autres monuments qui ne furent pas détruits. Le reste du groupe des survivants restés dans le Haut-Atlas attendit que les conditions de vie soient revenues à la normale pour rejoindre les éclaireurs vers 5000 ans av JC.
  • le groupe mené par Seth, le frère d’Osiris né également de Nout, leur mère à tous les deux, qui avait trahi le culte de Ptah pour suivre le culte du Soleil, avait traversé les terres pour rejoindre lui aussi les bords du Nil. Les troupes de Seth traquaient la colonne des suivants d’Osiris et des combats fratricides entre les deux camps ralentissaient la progression de l’ensemble des survivants atlantes.

Le 24 mai 4608 av JC, les troupes de Seth acceptèrent leur reddition et leur soumission au seul Maître de tous : le Pêr-Ahâ Men-Nazr-Mer ou ” l’aimé qui vient du couchant “.

Cette profession de foi eut lieu au bord du grand fleuve, à l’emplacement même où parvinrent les premiers pionniers de la longue cohorte des rescapés, tout au fond de la boucle de la rive occidentale du Nil, là où était une oasis édénique.

Ce lieu avait trouvé immédiatement son appellation afin de remercier Dieu (Ptah), le soleil (Râ) et Nout leur mère : Ta-Nout-Ra-Ptah. Il continua durant quatre millénaires de porter ce nom béni, trois fois béni et protégé. Puis il devint phonétiquement en grec Tentyris, avant de devenir en arabe : Tentira et Dendra, pour finir en français par être Denderah.

fin du document. Lire le livre d’Albert Slosman: Et Dieu ressuscita à Dendérah, Robert Laffont, 1980

Construit selon les plan d’Horus (qui datent semble-t-il du temps de l’Atlantide),

Horus, dieu égyptien
Horus

il a été aménagé par Khéops et agrandi ensuite par Pépi 1er (2289-2255) qui a restauré le complexe du temple à la déesse Hathor. À Abydos il a construit une petite chapelle creusée dans le roc et dédiée au dieu local Khentamentiou, où il est appelé Pépi, fils d’Hathor de Dendérah. Dendérah est dédié à la déesse Isis.

Isis, la déesse égyptienne
Isis

Le Temple d’Abydos, construit par le pharaon Séti Ier puis achevé par Ramsès II, était un lieu de culte majeur durant l’antiquité car d’après la légende, c’est là que fût déposée la tête du dieu Osiris après qu’il ait été assassiné par son frère démoniaque, le dieu Seth. Dendérah et Abydos réunissent le couple divin Isis Osiris. Séti 1er a en quelque sorte poursuivi et achevé l’œuvre de Pépi 1er à Dendérah.

Dendérah fut restauré une dernière fois. Le temple d’Hathor actuel est fondé le 16 juillet 54 avant notre ère, jour du lever héliaque annuel de Sirius (Sirius est l’étoile d’Isis). La reconstruction est achevée trente-quatre ans plus tard, sous le règne d’Auguste. La décoration des parois se poursuit jusqu’à la fin de la période romaine.

Dendérah temple égyptien
temple de Dendérah, piliers et plafonds
temple de Dendérah, piliers et plafonds

La date de construction de Dendérah devient ainsi chez bon nombre d’auteurs actuels, celle de 54 av JC. parce que cette date est prouvée, rationnelle,certaine… alors que les autres dates précédentes sont probablement trop ésotériques pour qui ne connaît pas l’histoire de notre humanité ? Par contre les dégradations et la destruction des visages datent du temps des premiers chrétiens après les années 300 puis des destructions par les musulmans lors de la conquête arabe.

Le roi Chronos d’Atlantide

Les documents laissés par Henry Schliemann, le découvreur de Troie et de la ville originelle sous les ruines de Troie, ont été utilisés par son petit-fils, Paul Schliemann. Le 20 octobre 1912, il fit paraître dans le New York American un article dont le titre était :

“Comment j’ai retrouvé l’Atlantide, source de toutes les civilisations… “

Le testament secret de Schliemann ” dans Le livre des Maitres du Monde, Robert Charroux, Robert Laffont, 1967.

résumé du texte :

Quand Schliemann mis à jour dans la seconde couche, le célèbre trésor de Priam, il découvrit sous ce trésor, un vase en bronze d’une forme particulière.

Ce vase contenait quelques tessons d’argile, des petits objets en métal, des monnaies et des objets pétrifiés, en os. Les inscriptions sur des objets et sur le vase, en hiéroglyphes phéniciens indiquaient : du roi Chronos d’Atlantide.

Dans un autre document, il indiquait qu’en 1883, il vit au musée du Louvre, une collection d’objets provenant des fouilles de Tiahuanaku dans l’Amérique centrale. Il constata que les tessons de poteries étaient exactement les mêmes sauf que les tessons de Tiahuanaku (Tiahuanaco) ne portaient pas de hiéroglyphes phéniciens. Il constata que sur les tessons du vase de Troie, les hiéroglyphes phéniciens avaient été ajoutés et sont plus récents que les tessons.

A l’examen chimique et microscopique, la même sorte d’argile ne se trouve pas ni dans l’ancienne Phénicie ni dans l’Amérique centrale.

L’analyse des objets établit que le métal était composé de platine, d’aluminium, de cuivre, alliage qui ne se trouve nulle part ailleurs parmi les vestiges du passé et qui est inconnu actuellement.

Ces objets de Troie et de Tiahuanaco avaient donc la même origine et le vase sous le trésor de Priam indique cette origine : l’Atlantide.

Dans un papyrus trouvé au musée de Saint Petersbourg qui date du règne du pharaon Sent de la deuxième dynastie, soit 4571 ans av JC, il est fait mention que le pharaon envoya une mission vers l’occident pour trouver des traces du pays d’Atlantide d’où étaient venus, 3350 ans plus tôt les prédécesseurs des égyptiens. l’expédition revint six années plus tard sans voir rien trouvé.

Un autre manuscrit du même musée, écrit par Manéthon, donne une durée de 13 900 ans au règne des sages de l’Atlantide. L’histoire de l’Égypte ainsi remonterait à près de 16 000 ans.

Une inscription relevée sur la porte des Lions à Mycène, dit que Misor dont les égyptiens descendaient, était le fils du dieu égyptien Thôt, lequel était le fils émigré d’un prêtre atlante fiancé à une fille du roi Chronos.

Pour cette raison, il dut s’enfuir et après de longues pérégrinations, il se fixa en Égypte. Il construisit le premier temple de Saïs et enseigna la sagesse de sa patrie d’origine.

L’analogie entre les civilisations maya et égyptienne est si grande qu’on ne peut pas la considérer comme fortuite. Il n’existe pas de hasard de ce genre.

La seule explication est que, conformément à la légende, il y eut autrefois un grand continent établissant un lien entre ce que nous appelons l’ancien et le nouveau monde. C’était l’Atlantide d’où partirent des colonies vers l’Égypte et l’Amérique centrale.

Fin du résumé du texte de Paul Schliemann, pages 293 à 298

résumé des pages 299 à 306 :

Robert Charroux poursuit en cherchant à comprendre l’attitude de Paul Schliemann dans la manière de divulguer les “secrets” de son grand père. Ces documents sous-entendent l’existence d’une véritable centrale de secret gardé en Phénicie, ce qui est accrédité par Sanchoniathon qui, lui aussi, trouva dans les temples phéniciens, une histoire du monde rédigée en écriture mystérieuse qui suscita les mêmes interdits, la même censure, le même black-out que les documents de 1912.

Or ce qu’écrivait Sanchoniathon était en harmonie complète avec ce qu’aurait écrit Henry Schliemann !

A croire que Schliemann s’était inspiré de Sanchoniathon ou bien avait puisé aux mêmes sources.

Robert Charroux présente ensuite l’archéologue Christos Mavrothalassitis qui a découvert l’antique Poseidonis près de Djerba. Djerba était le terminus du chemin menant de l’Atlantide à la Méditerranée, alors mer fermée du côté des Colonnes d’Hercule (le détroit de Gibraltar).

Suite aux indications d’un vieil ermite berbère, l’archéologue découvrit le cimetière ” des premiers ancêtres de notre race “. Il mit à jour des tombeaux où se trouvaient des poteries analogues à celles de Tiahuanaco et de la collection Schliemann.Il trouva aussi des pièces blanches, en un métal inconnu. Ces pièces rarissimes représentent des scènes de la vie des Atlantes. Ces pièces que l’on a de bonnes raisons de croire être de l’orichalque atlante, content l’histoire d’une civilisation qui connaissait pour le moins le cheval, la bride, le mors, et des engins identiques à nos fusées spatiales.

En Tripolitaine, dans un sable aussi excellent que celui des bords du Nil pour conserver des bâtiments, des tombes et des documents, l’archéologue indique avoir trouvé des documents atlantes datant d’avant le dernier grand cataclysme : par exemple l’indication que les eaux de la Méditerranée ont monté de 41,30 mètres après le déluge qui a suivi le dernier grand cataclysme. Il y a également le tracé exact de la route maritime atlante qui, à travers l’Afrique reliait l’Atlantique à la Méditerranée. Tout comme il y a la carte géographique de l’Atlantide qui date de l’époque atlantéenne.

Cette civilisation se développait entre l’Afrique, l’Europe et l’Amérique.

fin du document

Mieux comprendre la transmission du savoir de nos Ancêtres Supérieurs à travers le dernier grand cataclysme

A partir de ces éléments de connaissances, nous pouvons mieux comprendre la transmission du savoir de nos Ancêtres Supérieurs à travers le dernier grand cataclysme.

Ainsi l’Égypte est-elle bien ” le Deuxième Coeur de Dieu “, Ath-Kâ-Ptah (Ae-guy-ptos en grec, Égypte en Français) qui leur était destiné. Cette destination était connue des survivants atlantes puisqu’elle était déjà une terre de sagesse atlante. Les survivants savaient que sur les bords du Nil se trouvaient les mêmes connaissances qu’à Tiahuanaco, la colonie originelle Atlante.

Ce savoir, nous l’avons montré sur fileane.com, a été sauvé par les ermites du désert, Jean, Antoine, Pacôme et en l’an 500 au Mont Cassin, Benoît de Nurcie fonda l’ordre monastique des Bénédictins pour développer une nouvelle culture en Europe à partir des vestiges égyptiens, grecs, romains et avec les peuples “barbares” qui savaient envahi l’Europe romaine.

Au coeur de ce savoir, il y a le mystère de l’Apocalypse et la manière de le comprendre pour préparer les expéditions des futurs survivants qui poursuivront de nouvelles civilisations à partir des connaissances qui auront pu être transmises malgré les destructions et les pertes humaines gigantesques.

Nous utiliserons cet article sur les peintures rupestres et les archives de nos Ancêtres Supérieurs lorsque nous présenterons les institutions culturelles de nos Réseaux de Vie sans systèmes de pouvoir et surtout sans théocraties avec leur dogmes sur l’histoire d’un monde conduite par des légendes plus ou moins divines qui légitiment cependant des tyrannies sanguinaires, des despotismes poussant l’esclavage et la domination des peuples de manière inhumaine et contraire justement aux connaissances transmises par nos Aînés Supérieurs malgré le dernier grand cataclysme.

Les protagonistes de cette histoire sont des initiés qui utilisent nos deux sources de savoir et ont rencontré les mystères de la Vie. Celles et ceux qui dissertent et critiquent, nient voire condamnent cette histoire de notre humanité n’utilisent que leur savoir intellectuel et rationnel pour se mettre d’ordinaire au service de la pensée dominante dictée par les dirigeants des systèmes de pouvoir. Et nous venons de voir un certain nombre de ces préhistoriens et de ces pseudo scientifiques à la manœuvre pour écarter et faire taire qui vient leur prouver le contraire de leurs thèses absconses et paranoïaques.

Ce conflit millénaire nous a conduit à la faillite de nos sociétés et à l’avènement du gouvernement mondial des plus riches capables de tout corrompre et de tout voler dans leur folie de devenir toujours plus riches.

Pourtant la Terre tourne et assurément pas rond. Comme les savants des civilisations anciennes, nous devons savoir mesurer la course des étoiles fixes et errantes, les déformations du globe terrestre, les flux des ondes diverses qui nous entourent. Ces connaissances nous sont interdites et à la place nous devons nous saouler de luttes contre le CO2, sans nous questionner sur les pollutions du système capitaliste industriel qui détruisent notre environnement et notre santé. Pourtant au fin fond de l’Amazonie, des pierres nous parlent, partout des grottes se découvrent avec ravissement…

Oui, ils avaient un art de vivre qui nous est interdit par les maîtres des systèmes de pouvoir. Nous voulons retrouver cet art de vivre, cette relation avec nos Ancêtres Supérieurs, comprendre nous aussi comme ce fut le cas pour eux, comment affronter et tenter de survivre au prochain grand cataclysme inscrit inéluctablement dans la vie si instable de la planète Terre et pas dans la vie d’autres planètes où d’autres humanités vivent avec de la stabilité dans leur proche univers…

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